Archive for February, 2020

#Agences —“Lettre (non) recommandées/ (sans)Rappel & sanction ” #CAF #Tutti = L’administration a tjrs raison ? #NON

February 20, 2020

Je rejette la notion que:

1–l’administration a toujours raison

2–on–l’administration*- peut envoyer une lettre simple, pas LRAR

–sans s’assurer qu’elle arrive .. et prend telle sanction (parce que vous avez forcément tort)vous radie/ suspend une alloc’ ou  x ou y 

3– et dans le cas où cette lettre n’arrive pas …

= c’est le destinataire, le contribuable qui a tort, toujours et toujours ? …

4--Il n’ y a  pas de système de “rappel ” (“avez vous reçu notre courrier du –tant ?”)

[ +/et via email ]: je reçois tous mes courriers via email

{ sauf celui-là, pas de bol }

5– Donc, l’administration a toujours raison .. back to Square 1  –cf #1

Conclusion:

1–Ce système doit être modifié

2–+ mon allocation rétablie sans délai

*je laisse un peu de flou, car ça peut arriver dans bcp de cas …

#Droit–“Administration, Administrés : Un droit à l’erreur pour tous ?”#Lille

February 20, 2020
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Rappel
27 juin 2019

Journée Jacques Lepers : Vèmes rencontres interrégionales du droit public

Administration, Administrés : Un droit à l’erreur pour tous ?

Vendredi 13 septembre 2019 Faculté de Droit de Lille- Amphi Cassin

(on ne vous le fait pas dire …)

http://amiens.tribunal-administratif.fr/content/download/163685/1653911/version/1/file/Plaquette%20Vèmes%20RIDP.pdf

#LeJournalduPauvre – “Pour le renouvellement de la CSC (ex-CMU) , simplifié et en ligne ” …

February 5, 2020

#CMU –la CMU n’existe plus … elle s’appelle maintenant “Complémentaire santé solidaire” = “La réforme de la CMU-C, qu’est-ce que c’est ? …” #secu
Aux Elu/es + Syndicats & Associations diverses/
Services du Ministère
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Nota bene: nous avons écrit cette Requête, il y a une paire d’an nées –nous la publions, actualisée: il s’agit maintenant de la CSC–“Complémentaire santé solidaire”;
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Comment se fait-il qu’à l’âge de l’informatique
compte Ameli + Carte Vitale en témoignent:
 
la CPAM insiste toujours pour que le bénéficiaire se présente:
c’est une perte de temps pour tout le monde +
il n’est pas rare que la CPAM fasse poireauter 2 mois
(donc, sans CMU –parce qu’ils l’interrompent systématiquement–)
3 mois? c’est à vous de payer …pour leurs conneries;
 et, à chaque fois, on doit  remplir x formulaires blabla–
comme à l’âge de pierre ! L’an dernier, l’employée CPAM qui partageait mon Ire
m’a renouvellé sur le champ –devant moi  la dite CMU = donc, c’est possible ..
.Quid d’une démarche simplifiée du renouvellement de la CMU avant 2050?
 
Merci de re-diriger ma demande si nécessaire
 
Cordialement,
 
Jean Wadier
 * on a compris: dans cette République sclérosée et bloquée =
notre  Administration Kafkaïenne insiste pour avoir la preuve de visu –vach’ment cartésien …
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#hallucinant –“1950-2014 : toujours les mêmes bidonvilles ” …

February 5, 2020

1950-2014 : toujours les mêmes bidonvilles

Par Nicolas Serve (avec Monique Hervo et Pierre Douzenel)

http://www.mediapart.fr/portfolios/photographe/nicolas-serve-avec-monique-hervo-et-pierre-douzenel

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NDE: On a déjà consacré plusieurs posts à ce problème (en fait, c’est le thème du Blog ..)–un des plus choquants:

–cf. http://www.mara-mazzanti.com/photos/imagevue/?content%2FFoyer%2F

on continue …

#JournalduPauvre —Reminder– ” Guide pratique de la domiciliation ” … A Nice comme à Thonon ?

February 5, 2020

 

 

Avoir une adresse est aujourd’hui indispensable pour accéder à tous les droits civiques, civils et sociaux. Pour les personnes sans domicile stable, c’est la domiciliation, proposée par les Centres communaux d’action sociale et certaines associations dont le Secours Catholique, qui est le seul recours. Mais le système, saturé, amène parfois des discriminations.

© Xavier Schwebel/Secours Catholique Dans les Hauts-de-Seine, les organismes associatifs domicilient 3 400 personnes. -  JPEG - 38.2 ko
© Xavier Schwebel/Secours Catholique
Dans les Hauts-de-Seine, les organismes associatifs domicilient 3 400 personnes.

Dans l’une des petites salles de La Rampe, lieu d’accueil du Secours Catholique à Colombes (Hauts-de-Seine), Christian attend son tour. Maintenant il donne son nom, son numéro de domicilié et on lui remet un paquet d’enveloppes. Depuis plusieurs années, Christian vient chercher son courrier ici.

« Je n’ai pas les moyens d’avoir un logement, je dors chez divers amis, explique-t-il. Mais il me fallait obligatoirement une adresse fixe pour avoir mon Pass Navigo gratuitement pour le métro. J’ai pu aussi remplir ma feuille d’imposition, avec l’aide d’un bénévole. Même si je ne paie pas d’impôt, j’en ai besoin pour renouveler ma demande de logement social. »

Quatre demi-journées par semaine, le local de La Rampe accueille des permanences de domiciliation. Deux sont gérées par le Secours Catholique et concernent la domiciliation de droit commun, c’est-à-dire pour les Français et les réfugiés politiques. Les deux autres sont tenues par l’association Dom’asile, créée par plusieurs associations caritatives chrétiennes dont le Secours Catholique, pour répondre aux besoins spécifiques des demandeurs d’asile.

Les personnes sans domicile stable peuvent ainsi utiliser l’adresse de ces organismes agréés par la préfecture pour leurs démarches administratives ou pour recevoir du courrier.

Des justificatifs pour justifier le justificatif

« La domiciliation va au-delà d’une simple adresse, précise Hélène Ceccato, animatrice du Secours Catholique des Hauts-de-Seine. Elle est pour nous la première étape d’un accompagnement sur le long terme vers l’accès aux droits. » Une fois le courrier remis à son destinataire, celui-ci passe une dizaine de minutes avec un bénévole pour vérifier qu’aucune lettre n’est urgente. Si besoin il appelle Pôle emploi pour une prise de rendez-vous. Lors des permanences de Dom’asile, une salariée de la Sécurité sociale est même là pour répondre aux questions.

Mais une adresse de domiciliation peut aussi amener à la discrimination. Ce lundi, Marc interpelle Marcelle Brown, co-responsable bénévole de La Rampe : « Je suis allé à la Caf pour avoir une nouvelle carte Vitale. Quand ils ont vu sur mon attestation de domiciliation que La Rampe était mon adresse, ils m’ont demandé un justificatif pour le prouver. »

Marcelle Brown soupire et lève les yeux au ciel : « On en vient à faire un justificatif de justificatif ! » Elle remplit la feuille que lui tend Marc et ajoute une note à l’intention de l’employée de la Caf pour lui rappeler que ce formulaire supplémentaire n’est pas nécessaire. « Voire illégal », observe-t-elle à voix haute.

© Xavier Schwebel/Secours Catholique Pour les étrangers en procédure de régularisation, le courrier est fondamental car il permet le lien avec les administrations. -  JPEG - 29.1 ko
© Xavier Schwebel/Secours Catholique
Pour les étrangers en procédure de régularisation, le courrier est fondamental car il permet le lien avec les administrations.

« Jusqu’en juin, nous avons eu aussi un problème avec la préfecture de Nanterre, rappelle-t-elle. Les demandeurs d’asile domiciliés chez Dom’asile qui obtenaient la protection de la France voulaient retirer leur carte de réfugié politique, comme la procédure le prévoit. Mais les employés au comptoir refusaient de la leur donner à cause de leur adresse. Nous avons interpellé le préfet à ce sujet : La Rampe est un lieu agréé par lui-même ! Depuis juillet, cela semble aller mieux. »

Malgré ces difficultés, la domiciliation est indispensable pour les étrangers sans domicile stable. « Ceux que nous accueillons ont fui les persécutions dans leur pays et une fois sortis de l’avion, ils ont huit jours pour faire une demande d’asile. Or sans adresse, ils ne peuvent entamer la moindre procédure administrative dans ce sens », explique Anne-Claire Bureau, responsable départementale de Dom’asile.

« Nous ne pouvons assurer un service public avec nos seuls bénévoles »

Aujourd’hui, le dispositif est saturé pour ce public : Dom’asile à Colombes reçoit et trie le courrier de près de 800 personnes uniquement avec une vingtaine de bénévoles. D’ailleurs, ce mardi après-midi, Dominique reçoit ceux qui veulent ouvrir une domiciliation… et doit répondre non à presque tout le monde.

« C’est extrêmement difficile de refuser », confie-t-il. Pintu revient pour la deuxième fois ce mois-ci : « Vous m’avez déjà envoyé vers cette autre association. J’ai essayé partout, ça n’a pas marché ! Acceptez-moi ! »

C’est pour répondre à ce genre de situation que le Secours Catholique des Hauts-de-Seine a mis en place, en 2010, un collectif pour la domiciliation rassemblant les organismes agissant dans ce domaine. Son premier travail a été, en 2011, une enquête sur les Centres communaux d’action sociale (CCAS).

« Depuis la loi de 2007 qui institue des possibilités de domiciliation pour les personnes, les premiers concernés par la domiciliation sont les CCAS. Or certains renvoyaient directement les demandeurs d’une adresse vers les associations », se souvient Hélène Ceccato. Résultat : sur le département, les CCAS domicilient environ 1 000 personnes quand les organismes associatifs en ont 3 400.

Hélène Ceccato reconnaît volontiers que les CCAS n’ont pas de budget supplémentaire pour assurer la domiciliation, mais elle plaide pour un changement de mentalité : « Nous ne pouvons assurer un service public avec nos seuls bénévoles. Notre volonté première est que les gens aient accès au droit commun. Pour nous, la meilleure solution serait que les personnes ayant besoin d’une adresse aillent se domicilier auprès des CCAS. Et pourquoi pas, accompagnées d’un de nos bénévoles. Notre rôle serait ainsi mieux cadré. »

Sophie Lebrun

#Bidonbidon ” En France, 17 000 personnes vivent dans des (400) bidonvilles “… #Duflot

February 5, 2020

We have already dealt with that (horrible) issue/ on en reparle

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En France, 17 000 personnes vivent dans des bidonvilles

Le Monde.fr | 27.09.2013 à 20h32 • Mis à jour le 27.09.2013 à 20h43 | Par Alexandre Léchenet

 
Un bidonville aux alentours de Paris en mai 2013. On en compte 400 en France.
Un bidonville aux alentours de Paris en mai 2013. On en compte 400 en France. AFP/FRANCOIS GUILLOT

Près de 17 000 personnes vivent dans près de 400 bidonvilles en France. C’est l’un des principaux enseignements de l’état des lieux dressé par la Délégation interministérielle à l’hébergement et à l’accès au logement (Dihal), dans le cadre du suivi de la circulaire du 26 août 2012 sur l’évacuation des campements illicites. Parmi ces milliers de personnes vivant dans une extrême précarité figurent 4 300 enfants. Ces informations ont été collectées pendant l’été 2013 par les correspondants en région de la Dihal.

DES CAMPEMENTS RÉPARTIS INÉGALEMENT SUR LE TERRITOIRE

Parmi ces 17 000 habitants de bidonvilles, 13 000 vivent dans des campements ne disposant pas de gestion des déchets. 3 700 ne disposent pas d’accès à l’eau. Le rapport indique notamment des diagnostics fait par la Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes sur cinq territoires différents.

C’est en Ile-de-France que l’on trouve le nombre le plus important de campements illicites, sachant qu’à lui seul le département de Seine-Saint-Denis abrite un cinquième des habitants de bidonville à l’échelle nationale. Viennent ensuite les régions du Nord-Pas-de-Calais, des Pays de la Loire et en Provence-Alpes-Côte-d’Azur.

Les données ne s’intéressent pas à l’origine ethniques des personnes dans les campements illicites. Cependant, une majorité de ces personnes viennent de pays d’Europe de l’Est.

Le rapport rappelle par ailleurs les missions d’éducation et de prévention santé effectuées dans ces bidonvilles, notamment des campagnes de vaccinations. La Dihal souhaite par ailleurs renforcer “la lutte contre les discriminations” dont sont victimes les populations vivant dans les campements illicites, ainsi que la lutte contre “les réseaux criminels actifs dans certains campements”, exploitant la pauvreté des gens y vivant.

Vendredi, lors d’une journée d’échanges autour du bilan de la circulaire, Dominique Baudis, le défenseur des droits, a accusé le gouvernement de ne pas la mettre en œuvre correctement, notamment sur l’absence de décision de justice préalable à l’évacuation de ces campements.

Lire à ce sujet : Roms : le défenseur des droits s’en prend au gouvernement

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/09/27/en-france-17-000-personnes-vivent-dans-des-bidonvilles_3486302_3224.html#okYbsiqoPSMra6Ds.99

#Sad–” Le 24e rapport sur « L’État du mal-logement en France …”#Fondation AP

February 5, 2020

🎞️ Le 24e rapport sur « L’État du mal-logement en 🇫🇷 » : pour qui, pour quoi ? Découvrez les témoignages des participants/intervenants recueillis pendant l’événement… En intégralité ici 👉

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