Archive for February, 2016

#Dove –#Roma — ” Dove ” = The “Where to Eat, to Sleep, to Wash” Guide

February 17, 2016
March 3, 2015

The “Where to Eat, to Sleep, to Wash” Guide

printable version

The GUIDE “WHERE to eat, to sleep, to wash oneself” 2009
19th edition

This booklet is a compass to hold in pocket to orientate oneself in the city.  There are listed the places where in Rome one can have help and be welcomed.
These are also the places where in Rome one can help and welcome.
Someone of these, however, could be escaped. Any suggestions that can make the guide more complete are appreciated.

For reports and update write to: romadove@tiscali.it

In Italy the guide is published in:
Rome, Milan, Genoa, Naples

In Spain in Barcelona

Dedicated to Modesta Valenti

Modesta Valenti lived at the Termini Railway Station in Rome. On January 31 1983 she felt ill and died without assistance: the staff of the ambulance, arrived in time, refused to take her on board because she was too filthy. Since then, January 31 became the day of memory of the persons that died on the street. On proposal of the Community of Sant’Egidio, the Commune of Rome named after Modesta a virtual road, via Modesta Valenti, for the personal registration of the homeless.

Documentation 2009 (ITA)

La povertà relativa in Italia

La povertà degli anziani

La fatica di vivere (storie)

Sant’Egidio e i poveri a Roma

La guida per i senza dimora: DOVE MANGIARE, DORMIRE, LAVARSI 2009

Rapporto sulla povertà nel 2008

WHERE to eat, to sleep, to wash oneself19 years together

 

Comunità di Sant'Egidio - Dove Mangiare, Dormire, Lavarsi edizione 2008 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2007 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2006

 

Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2005 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2004 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2003

 

Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2002 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2001 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 2000

 

Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1998/1999 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1997/1998 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1996/1997

 

Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1995/1996 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1994/1995 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1993/1994

 

Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1992/1993 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1991/1992 Dove mangiare, dormire, lavarsi ed. 1990

 

Telefono della Comunità Telephone of the Community (Rome)+39.068992234Active on:Mon. – Wed. – Fri. 5.30pm to 7.30pm
Tue. – Thu. 3.00pm to 7.00pm
This page is also available in italiano, spanish, deutsch, français, catalan, nederlands, russian

JournalduPauvre –” Hello !”, un Guide du Routard pour aider ONG et réfugiés à communiquer “…

February 17, 2016

Hello !”, un Guide du Routard pour aider ONG et réfugiés à communiquer

« C‘est à chacun d’entre nous, en fonction de ses moyens et de ses compétences, de (…) venir en aide (aux réfugiés). Il n’y a pas que les Allemands qui ont un cœur ». C’est par cet appel que Philippe Gloaguen, fondateur du Guide du Routard en 1973, présenteHello !, le guide tout en dessins qu’il édite avec Voyageurs du Monde et Hachette  à destination des migrants et des associations qui les accueillent.

« Je trouve que l’attitude du gouvernement est proprement scandaleuse par rapport au désastre humanitaire auquel on fait face. Chacun doit se débrouiller. J’avais pensé à accueillir une famille, mais étant dans l’édition, je peux faire beaucoup mieux. J’ai eu cette idée d’un petit guide. J’ai rencontré beaucoup d’ONG qui m’ont confié que leur grande difficulté résidait dans la communication », a expliqué Philippe Gloaguen au JDD, le 19 septembre.

Réalisé avec le graphiste Pascal Gauffre et la contribution d’associations pour son contenu, le guide est divisé en rubriques (argent, hébergement, santé, nourriture etc…) et se veut un « dictionnaire visuel universel (pour) surmonter les incompréhensions » notamment liées à la langue : cette BD sans texte est à utiliser avec des post-it, permettant aux personnes cherchant de l’aide de désigner ce dont elles ont besoin, et à celles qui veulent les assister de leur apporter des réponses.

Hello ! sera distribué gratuitement, à 40 000 exemplaires, dès la mi-octobre, à toutes les ONG et associations qui s’occupent de réfugiés, via le réseau FNARS (fédération nationale des associations d’accueil et réinsertion sociale).

#JournalduPauvre –” A financer : Un lieu d’accueil pour les femmes ” …

February 17, 2016

 

A financer : Un lieu d’accueil pour les femmes

A financer : Un lieu d'accueil pour les femmes
(Crédit photo : DR)
Fin de la collecte : 31 janvier 2016. Thématique : Solidarité, femmes. Objectif : 15 000 euros.
Le Baromètre de cet article

ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
SUR LE MÊME SUJET
Article publié dans le
N° 74 – janvier-février 20162016, l’année des écoféministes

« Un lieu pour elles. » Tel est le nom, simple et précis, de ce projet. Celui-ci est mené par l’association Du côté des femmes, dont l’objectif, depuis trente ans, est d’agir pour l’égalité et lutter pour les droits des femmes. Les 44 salariés accueillent, à Cergy et Sarcelles (Val-d’Oise), les femmes en grande précarité et également celles victimes de violences conjugales « pour les mettre en sécurité et les accompagner », explique Claire Halbout, salariée de l’association et responsable de la campagne de crowdfunding. Pour aller encore plus loin, aujourd’hui, l’association souhaite proposer un espace – « déjà existant mais à améliorer », précise la salariée – qui pourrait accueillir une quarantaine de femmes en journée pour leur offrir écoute, soutien et repos. « Elles pourraient ainsi cuisiner, déposer et stocker leurs affaires, utiliser la salle de bains et laver leur linge, poursuit Claire Halbout. Le tout de manière autonome. » L’idée étant que ces femmes – et leurs enfants si elles en ont – puissent se ressourcer et retrouver de l’énergie.

Juristes et psychologues

Des juristes et psychologues seront également présents dans ce lieu pour aider les personnes accueillies à effectuer leurs démarches.Mais, pour cela, l’association a besoin d’un coup de pouce, notamment pour financer l’achat d’une cuisinière de collectivité et de matériel d’électroménager. Elle lance donc un appel au crowdfunding, cherchant à lever 15 000 euros.

#JournalduPauvre–” Montre-nous que tu le mérites, ton RSA !”–#NPA

February 10, 2016
Social (autres)
actualité

Le Conseil départemental du haut-Rhin a voté vendredi une mesure qui a soulevé l’indignation. Il s’agit d’exiger des bénéficiaires du RSA qu’ils/elles fournissent en échange sept heures hebdomadaires de « bénévolat »…

De petits rappels s’imposent :

• « RSA » signifie « revenu de solidarité active ». Il s’agit d’une allocation de survie attribuée à celles et ceux qui n’ont pas d’autres ressources. Oui, de survie, car le montant ne permet de vivre qu’au prix d’acrobaties économiques et « porte-monnesques » et de privations. Ce n’est ni la belle vie ni un privilège.

• « Bénévolat » (de bene : « bien » et vol : « vouloir », le suffixe « at » indiquant un statut). Ce mot signifie « Activité volontaire accomplie sans obligation et gratuitement ». Par conséquent, du « bénévolat » « imposé », cherchez l’erreur, ce n’est pas du bénévolat. Contresens cynique. C’est un travail imposé. Au Moyen-Age, un travail dû (sans rémunération) à celui qui détient le pouvoir, on appelait ça les « corvées ». De là au travail forcé, il n’y a qu’un pas…

Les personnes qui touchent le RSA préféreraient avoir un vrai emploi pour un véritable salaire digne. Leur imposer ces heures de travail non rémunéré est indigne, humiliant, stigmatisant. Imagine-t-on comment ils/elles seront appelés et traités dans les structures où on les enverra travailler à l’œil ? Derrière cette mesure se trouve l’idée persistante que les allocations en tout genre, c’est de la charité que l’on accorde à des fainéantEs et que l’on peut bien exiger quelque chose en contrepartie. C’est ce qu’ils (les élus du Haut-Rhin rapporteurs de la mesure) appellent « un juste équilibre entre droits et devoirs »… Qu’est-ce que c’est que cette morale du 19e siècle ?

En outre, le « travail bénévole » qui serait accompli auprès de collectivités, associations ou maisons de retraite est un vrai travail socialement utile et qui doit donc correspondre à des emplois rémunérés et encadrés par le code du travail (qui existe encore, malgré tout).

On peut certes espérer que le Préfet, le Conseil d’État ou une quelconque juridiction fera annuler cette mesure, mais sous ce gouvernement qui n’est pas de gauche, vous l’aurez remarqué, on ne peut compter que sur la solidarité et la mobilisation pour interdire de telles dispositions contraires aux droits élémentaires, et au droit tout court.

Brigitte Boulier