Archive for October, 2012

In the News: Cécile Duflot confirme d’éventuelles réquisitions d’immeubles …

October 31, 2012

Cécile Duflot confirme d’éventuelles réquisitions d’immeubles

ReutersReuters – il y a 33 minutes

  • Vue aérienne de Paris. Cécile Duflot, la ministre du Logement, a confirmé mercredi qu'elle envisageait de réquisitionner des immeubles vides appartenant à des propriétaires privés pour héberger des personnes sans toit ou mal logées. /Photo d'archives/REUTERS/Benoît TessierAfficher la photoVue aérienne de Paris. Cécile Duflot, la ministre du Logement, a confirmé mercredi qu’elle envisageait de réquisitionner des immeubles vides appartenant à des propriétaires privés pour héberger des personnes sans toit ou mal logées. /Photo d’archives/REUTERS/Benoît Tessier

PARIS (Reuters) – La ministre du Logement, Cécile Duflot, a confirmé mercredi sur RTL qu’elle envisageait de réquisitionner des immeubles vides appartenant à des propriétaires privés pour héberger des personnes sans toit ou mal logées.

Elle a également émis l’idée d’une inscription dans la Constitution d’un droit au logement.

“L’objectif est de faire en sorte que personne ne soit à la rue et deuxièmement que tout le monde puisse être logé dans de bonnes conditions”, a-t-elle déclaré. “J’utiliserai tous les moyens qui seront nécessaires.”

Elle a précisé qu’elle allait faire ouvrir à partir de jeudi des centres d’accueil et qu’elle envisageait, “si nécessaire”, d’identifier des bâtiments privés laissés vides par leurs propriétaires pour cause de spéculation.

“Nous parlons de propriétaires privés, de grandes institutions qui possèdent des immeubles qui sont vacants pour des raisons de spéculation immobilière”, a-t-elle dit.

Cécile Duflot a indiqué qu’une ordonnance de 1945 et une loi de 1998 permettaient de réquisitionner de tels immeubles.

“Je considère que la fonction de ces immeubles c’est de pouvoir loger des habitants plutôt que de servir à la spéculation immobilière”, a-t-elle fait valoir.

“Ce n’est pas une atteinte à la propriété privée, parce que quand ça se passe dans ce cadre-là, l’Etat rend possible le fait de louer ces logements (…) dans un cadre tout à fait normal”, a-t-elle ajouté. “S’il y a besoin de cette solution-là, elle sera mise en oeuvre.”

Cécile Duflot a évalué à environ 100.000 le nombre de sans abri en France, à trois millions celui des familles mal logées et entre un et deux millions celui des logements vacants.

“La question, c’est de savoir comment on met en équilibre dans la Constitution le droit à la propriété et le droit au logement parce que le logement n’est pas un bien comme un autre (…) c’est un bien de première nécessité”, a-t-elle souligné.

Emmanuel Jarry, édité par Patrick Vignal

Best of: ” Re-enchant the City …” ==” Ré-enchanter la ville …”

October 24, 2012

 QQs semaines – pour conclure 2012: et le changement, qui ne vient pas … mais, pour trouver l’espoir qqe part:

 Commençons du bon pied avec un message optimiste:

pour résoudre tous ces problèmes du logement social en particulier …

1- cela ne va pas se faire en 5 ou 10 ans … n’écoutez pas les politiques et les experts en tout genre (on vous trompe, on vous ment)

2- cela va prendre quelque chose de très simple et de très radical:

il faut tout refaire, tout recommencer, repartit à zéro * ! Et puisque la France a si magnifiquement foiré sa reconstruction et que nos villes sont des mourroirs, des chefs-d’oeuvre historiques -peut-être – d’ennui:

il faut construire + re-construire et rénover

” Ré-enchanter la Ville …”, pour reprendre l’expression employée par de jeunes architectes, qui ne s’y trompent pas:

voir M. Gontrand.

Rendez-vous dans 2 ou 3 générations; on prépare le XXII ème Siécle, tout simplement …

RE ENCHANTER LA VILLE ARCHITECTURES DE MANUELLE GAUTRAND
 
39.90 EUR
Ici Interface
Octobre 2008Présentation des idées constituant la base même du travail de Manuelle Gautrand et de son équipe. L’univers de cette architecte s’ouvre à travers les équipements publics, les commerces et loisirs, les immeubles de logements, les complexes urbains, les tours, les immeubles de bureaux, les sites industriels et les infrastructures.Edition trilingue français-anglais-chinois215 p.* oui, d’accord, on garde la Tour Eiffel et les monuments …

” La rue, mode de vie ” … in —

October 24, 2012
Société 16 mai 2012 à 19:06

La rue, mode de vie

grand angle

Avenues vides, trottoirs déserts, façades inanimées… Les zones résidentielles créées en France depuis les années 50 souffrent d’une réglementation mortifère : tel est le constat de l’architecte Nicolas Soulier au terme de son enquête menée en Europe.

Par SIBYLLE VINCENDON

Des rues mortes. Où l’on ne croise pas un chat, où de longues files de voitures en stationnement bordent des grilles, des digicodes et des façades nues comme des vers, où l’on va de giratoire en rond-point. Et où marcher – si tant est qu’on ait eu l’idée saugrenue de marcher – donne le bourdon. Des rues comme ça, on en voit partout, dans les grands ensembles, lotissements, zones résidentielles sorties de terre après la Seconde Guerre mondiale. Une spécialité française.

Depuis bien longtemps, cet état de fait intrigue Nicolas Soulier, architecte, urbaniste et professeur d’architecture. Il le résume dans une question : «Comment se fait-il qu’on en soit venu à se dire qu’une rue, pour être vivante, doit être longée par des commerces et des cafés ?» Dans la plupart des cas, poursuit-il, «il n’y en a pas. Mais il se passe quelque chose d’étrange : des habitants sont là, mais rien ne transpire de leur présence». Nicolas Soulier a pratiqué son art partout en France, beaucoup voyagé et arpenté à l’étranger des quantités de rues où la promenade était agréable. Il a fait de son expérience une méthode, détaillée dans un ouvrage intitulé Reconquérir les rues  (1). Mais, comme on va le voir, la reconquête, en France, s’annonce ardue.

«Le petit barda que les gens mettent dehors»

Le manuel de Nicolas Soulier démarre par un florilège de règlements produits par notre beau pays. Les obligations des villes, des copropriétés ou des lotissements interdisent d’accrocher aux façades ou de poser sur des murs des objets qui «puissent nuire aux passants» (en clair, des pots de fleurs susceptibles de leur tomber sur la tête). Défendu de changer la boîte à lettres, de faire un barbecue dans le jardin, de laisser dépasser une branche d’arbre sur la voie publique, d’éclairer son balcon, de choisir un mobilier d’extérieur ou un paillasson non agréé par le syndic, de poser des canisses le long des garde-corps de terrasse, de transformer une plate-bande en potager et, par-dessus tout, il est absolument proscrit de faire sécher du linge dehors.

Pourtant, qu’est-ce qui rend la flânerie charmante ? Les plantes qui dépassent des clôtures, les arbres, des fleurs au balcon, un vélo devant la maison, une grille ouvragée, un perron, une marquise, une variété de façades, une glycine, un objet posé sur un bord de fenêtre et que l’on aperçoit, «tout un petit barda que les gens mettent dehors», dit Nicolas Soulier.

Ce fut longtemps la rue classique en France : les pavillons de banlieue avaient ce genre de décor informel sur le pas de la porte. On voyait un peu de bazar, et même une lessive qui sèche au soleil n’était pas considérée comme une calamité. Au cours de ses pérégrinations, l’urbaniste a vu «cette vie sociale informelle» encore présente par exemple dans les rues de Brême, en Allemagne, «des petites choses» qui font que «quand on passe dans la rue, ce n’est pas devant des éléments inertes et hermétiques». Mais en France, non. L’essentiel de ce qui a été aménagé depuis trente ans est vitrifié. A coup de règlements, de priorité à la voiture, d’obsession sécuritaire, on a créé des voiries «stérilisées», dit Nicolas Soulier.

«Pas de voitures, c’est souvent pas bien»

what j marseille said re: “Le Journal du Pauvre” …

October 24, 2012

 

Jacques Marseille to me
show details 1/12/10

” Grand merci. C’est un très beau projet et je pense que Martin Hirsch  s’y intéresserait.”

Cordialement,
J.Marseille

(dans une correspondence privée avec l’auteur  de ce blog)

Professeur Marseille est décédé recemment

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Marseille

In the news:Droit au Logement –Actualités

October 24, 2012

http://droitaulogement.org/

 

Marche des réquisitions Samedi 27 Octobre 2012

Sans logis et DALO, 100 000 logements tout de suite
RV 15h Place du Palais Royal
Pour demander le lancement en urgence d’un plan de mobilisation/réquisition de 100 000 logements vacants, les…

Hébergement des sans-logis : les associations dénoncent le plan Duflot —

October 19, 2012

Hébergement des sans-logis : les associations dénoncent le plan Duflot

19 octobre 2012 à 20:51
Un SDF à Paris, le 18 mai 2012. Selon l'INSEE, la France comptait 133 000 sans abris en 2011.

Un SDF à Paris, le 18 mai 2012. Selon l’INSEE, la France comptait 133 000 sans abris en 2011. (Photo Lionel Bonaventure. AFP)

DÉCRYPTAGE La ministre a promis 19 000 nouvelles places d’urgence pour l’hiver, et 15 000 logements pérennes ou accompagnés à plus long terme. Un plan jugé peu ambitieux.

Par CHARLIE DUPIOT

Mettre fin à la gestion saisonnière du problème de logement ets’occuper du sort des sans-abris au-delà de l’hiver: voilà l’objectif affiché par la ministre du logement Cécile Duflot, lors de la présentation de son plan d’urgence pour l’hébergement des sans-abris jeudi 18 octobre.

En visite dans un centre d’hébergement à Lyon, la ministre a promis une rupture avec les politiques des gouvernements précédents, promettant la création de 5 000 places d’hébergement pérennes en cinq ans, et 10 000 places de «logements accompagnés». En plus, Duflot a annoncé la création de 19 000 places d’urgence supplémentaires à mobiliser dès le 1er novembre. Des annonces accueillies avec beaucoup de scepticisme par le milieu associatif.

L’épineuse question de l’hébergement durable

La question du logement des sans-abris est récurrente. En France, le principal problème reste le manque de structures de logement pérenne pour les sans-domicile : selon un rapport de l’Assemblée nationale daté de janvier, il existait l’an dernier plus de 80 000 places en «logement pérenne» pour les 133 000 sans-abri.

Pour faire face à ce déficit, la ministre devra composer avec un budget pour l’hébergement des démunis revu de 4% à la hausse en 2013. C’est peu pour faire face au défi qu’elle s’est posé, assurent les associations, très attentives aux annonces concernant les logements pérennes et les logements accompagnés. Car contrairement aux logements d’urgence, qui sont temporaires, ils permettent un suivi des sans-abris vers la réinsertion sociale.

Pour beaucoup, le plan Duflot ne changera rien

Dénonçant une mesure insuffisante et de toute façon impossible à financer, celles-ci s’inquiètent de l’explosion des demandes d’hébergement d’urgence depuis plusieurs semaines: «Aujourd’hui, l’Etat ne peut pas répondre à 70% des demandes qui parviennent au 115 (numéro du Samu social)», rapporte Florent Gueguen, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (Fnars). Comme beaucoup d’autres, les annonces de Cécile Duflot ne l’ont pas convaincu. «Si on crée seulement 5 000 places d’hébergement pérennes, où vont aller les 19 000 personnes que la ministre prévoit d’accueillir cet hiver ?», s’inquiète le responsable, avant de répondre: «c’est simple: au printemps, ils iront dans les rues, dans les bois, dans des reconstitutions de campements pour un certain nombre de migrants.»

Au lieu de 5 000 places, «qui ne vont rien changer et qui seront peut-être créées dans des hôtels, pas dans des centres», il en réclame 15 000. Certes, la ministre a également annoncé 10 000 nouveaux logements accompagnés, mais les migrants, qui représentent selon lui 60% des appels du Samu social, n’y sont pas éligibles, rappelle le responsable de la Fnars.

De son côté, le Secours Catholique ne voit pas comment 10 000 logements accompagnés pourront sortir de terre dans les cinq prochaines années. «Le temps que ces logements-là soient construits, il faut qu’on réponde aux besoins en urgence», s’alarme Charlotte Niewiadomski, responsable du département Logement au Secours catholique, indignée : «La ministre nous a promis qu’on sortirait de la logique saisonnière, c’était un mensonge. Il n’y a toujours pas de volonté politique pour changer la situation.» La responsable ajoute que le budget prévu ne suffira pas à créer les 5 000 places pérennes :«Cécile Duflot a fait des promesses sans s’assurer qu’elles pourraient être réalisées.»

Duflot déçoit après avoir suscité l’espoir

La ministre avait pourtant commencé son mandat sur une belle note. Quand elle annonce prolonger le dispositif hivernal pour l’hébergement d’urgence, dans la semaine suivant sa nomination, les associations d’aide aux sans-abris ont voulu croire qu’enfin les services de l’Etat ne fonctionneraient plus «en fonction du thermomètre», mais des besoins: «Cette revendication qu’on porte depuis des années semble avoir été entendue», s’enthousiasmait alors Matthieu Angotti, de la Fnars. «On avait espoir», raconte aujourd’hui Caroline Niewiadomski du Secours catholique, «mais quand la ministre a annoncé qu’à partir de juillet seuls trois centres d’hébergement resteraient ouverts en région parisienne, on a vite compris que ce serait la même politique que le gouvernement précédent. Sauf que la situation est pire».

No Solidarity? she is right = Mallaury Nataf : “Nos services sociaux travaillent dans le vide”

October 17, 2012

Mallaury Nataf : “Nos services sociaux travaillent dans le vide”

20minutes.frPar 20minutes.fr | 20minutes.fr – il y a 1 heure 34 minutes

CONTENUS ASSOCIÉS

  • Mallaury Nataf dans les bureaux de 20Minutes, le 17 octobre 2012. , Alexandre Gelebart/20minutesAfficher la photoMallaury Nataf dans les bureaux de 20Minutes, le 17 octobre 2012. , Alexandre Gelebart/20minutes
  • Pure people – il y a 12 minutes

PEOPLE – Retrouvée la semaine dernière en train de dormir dans la rue avec son fils, l’ancienne vedette de la sitcom «Le miel et les abeilles» est venue à la rédaction de «20Minutes» expliquer sa situation et son projet d’association…

Mallaury Nataf n’avait donné aucune nouvelle depuis qu’elle avait été découverte, dimanche 7 octobre à 3h du matin, en train de dormir par terre dans une rue du 3e arrondissement de Paris avec son dernier enfant, Shiloh, âgé de 3 ans. L’actrice avait alors refusé l’assistance des services sociaux avant de quitter les locaux de la brigade de protection des mineurs. Mallaury Nataf a désormais décidé de sortir de son silence pour parler aux médias. Elle s’est présentée à 20Minutes ce mercredi matin. (cliquez sur le lien pour voir la vidéo)

«L’urgence c’est de parler à la presse pour rétablir ce qui a été dit de faux, notamment répondre à ceux qui m’ont accusé d’avoir  menti ou utilisé les médias pour me refaire une santé artistique et financière» lance Mallaury Nataf dans un flot de paroles ininterrompu, sans quitter pour l’interview sa doudoune noire et son bonnet sur la tête. Elle poursuit: «L’autre urgence c’est de m’occuper de récupérer la garde de mon fils avec mon avocat, et il faudra ensuite que je trouve un boulot».

Elle ne sait pas où dormir ce soir 

«J’en suis à mon 74e jour dehors» raconte la jeune femme. Ce soir elle «ne sait pas» où elle va dormir. Comment s’est-elle débrouillée depuis la nuit du 7 octobre à la suite de laquelle lui a été enlevée la garde de son fils? Elle reste floue, évoque une dame qui lui a ouvert sa porte une nuit «parce qu’elle avait elle-même connu une situation difficile» et avec laquelle elle «va sûrement prendre une colocation à partir du 24». Elle insiste «Je ne dors pas vraiment dans la rue, mais dans les parcs», et dénonce le manque de solidarité des Français: «A partir du moment où vous n’avez plus d’argent dans ce pays vous êtes un pestiféré, les (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

Des associations interpellent Duflot sur la crise du logement —

October 17, 2012

Des associations interpellent Duflot sur la crise du logement

Un collectif d'associations d'aide aux sans-abris interpelle Cécile Duflot face à la crise du logement.

Samu social saturé, fermeture de structures d’hébergement d’urgence… Le collectif en appelle à la ministre face à «l’ampleur» de la crise.

Samu social saturé, fermeture de structures d’hébergement d’urgence… Le collectif en appelle à la ministre face à «l’ampleur» de la crise.

Des associations d’aide aux sans-abris ont interpellé mercredi la ministre du Logement Cécile Duflot dans une lettre ouverte sur«l’ampleur de la crise du logement et de l’hébergement», notamment sur la situation des nombreuses familles qui se retrouvent à la rue.

«Au printemps dernier, des dizaines de milliers de personnes ont vu se fermer les portes de structures d’hébergement temporaires. Depuis, le 115 (numéro d’urgence pour les sans-abris) est dans l’incapacité de répondre aux trois quarts des demandes d’hébergement», dénonce le Collectif des associations unies, qui regroupe 33 associations dont ATD Quart-Monde, la Fondation Abbé Pierre, la Croix-Rouge française, Médecins du Monde, le Secours catholique et la Fondation de l’Armée du Salut.

«A Paris, une cinquantaine de familles sont refoulées tous les soirs, et en Seine-Saint-Denis, 117 enfants étaient sans abri à la veille de la rentrée scolaire», soulignent-elles. «Dans ces deux départements, tous les jours, faute de places, 400 personnes ne sont pas mises à l’abri», rappellent les associations, qui estiment au total que «150 000 personnes sont à la rue» en France, dont «de plus en plus de familles et d’enfants», «sans compter les nombreuses personnes qui, découragées, n’appellent plus le 115».

«Des territoires auparavant épargnés sont confrontés à l’incapacité de répondre aux sollicitations», ajoutent les associations, citant l’exemple de Tarbes où 82% des demandes ne sont pas pourvues. Elles soulignent que «des professionnels de l’urgence sociale, désemparés face à la situation», ont exercé «leur droit de retrait».

«Une fois de plus et malgré les promesses, on s’oriente vers un nouveau plan hivernal, préparé de surcroît au dernier moment», déplorent ces associations, qui demandent régulièrement la fin d’une gestion de l’hébergement d’urgence «au thermomètre».

Elles avaient alerté le gouvernement en septembre en demandant un«plan d’urgence», mais «force est de constater que l’Etat ne se donne pas les moyens d’assurer sa mission de protection des plus vulnérables», déplorent-elles, rappelant que «les expulsions locatives et les démantèlements de campements se poursuivent sans relogement».

(AFP)

On a Hiatus = Le J de P prend qqe repos .. (we may be back: who knows?)

October 4, 2012

As Many of Our Blogs: The Journal du Pauvre is not Forever

(Bon, une dizaine de jours … mais, les News … c’est pas vraiment bon)

Comme bien des Blogs:

Le Journal du Pauvre n’est pas fait pour l’Eternité … Depuis deux ans, nous avons animé qqes discussions – nous espèrons en animer d’autres ici ou ailleurs. pour l’instant, soufflons un peu et attendons un instant voir ce qu’il sort des Mannes Dufflot …

and don’ t forget:

The Language Coop daily

A Cup of Coffee in paris

 

Compte en Banque: •” QU’EST-CE QUE LE DROIT AU COMPTE ? ” in Journal du Pauvre

October 4, 2012

(Nous allons élaborer et préciser qqs points en cette fin 2012)

AUCUNE BANQUE N’ACCEPTE DE M’OUVRIR UN COMPTE : QUE FAIRE ?

Une banque a le droit de vous refuser l’ouverture d’un compte bancaire.  Elle peut le faire sans avoir à vous donner les raisons de sa décision.  Cependant, elle doit, sur demande écrite de votre part, vous remettre  gratuitement une attestation de refus d’ouverture de compte. Il s’agit  d’un modèle de lettre commun à toutes les banques. Ce document comprend toutes les informations nécessaires pour pouvoir  bénéficier de la procédure du droit au compte (voir ci-dessous),  c’est-à-dire la désignation d’office par la Banque de France d’une  banque qui devra, dans les conditions prévues par la loi, vous ouvrir un  compte de dépôt.

  • QU’EST-CE QUE LE DROIT AU COMPTE ?

    Les personnes physiques domiciliées en France, et également les Français  qui résident à l’étranger, qui ne possèdent pas de compte de dépôt en  France, peuvent demander à la Banque de France de désigner une banque  pour obtenir l’ouverture d’un tel compte. Ce droit est prévu par les  dispositions de l’article L. 312-1 du code monétaire et financier.  Concrètement : vous êtes un particulier et vous ne parvenez pas à vous  faire ouvrir un compte bancaire. La banque qui vous a refusé l’ouverture  d’un compte peut, sur votre demande, transmettre une demande de droit  au compte à la Banque de France. Vous pouvez également vous rendre au guichet d’une succursale de la  Banque de France pour remplir votre demande ou la lui adresser par  courrier.  Votre dossier doit comporter les documents suivants :      – un formulaire de demande de droit au compte (téléchargeable sur notre site),     – une attestation de refus d’ouverture de compte délivrée par une banque,      – une pièce officielle d’identité en cours de validité,      – un justificatif de domicile (facture de moins de 3 mois…)  Où s’adresser ? Cliquez ici.  La banque, qui sera désignée par la Banque de France pour ouvrir le  compte, pourra limiter l’utilisation de ce compte aux services bancaires  de base. Ceux-ci sont gratuits. Ces dispositions sont prévues par les  articles D.312-5 et D.312-6 du code monétaire et financier.  voir les services bancaires de base et l’article L.312-1 du code  monétaire et financier (cliquez ici)

http://www.banque-france.fr/la-banque-de-france/missions/protection-du-consommateur/droit-au-compte.html